Vive la liberté
Oulahlou
GENRE Les belles chansons d’amour
De Brel, Ferré et Aznavour ;
Elles sont toutes toutes jolies
Mais y a trop de mélancolie
Face à la peur et l’abandon
Les hommes pleurent cependant ;
Moi je chante et je reste gai
Un peu rock, un peu reggæ
Je te jure
Wellah la vérité
En toute sincérité
Merci de me quitter
Vive ma liberté !
Je suis né pour être libre
Sur ma montagne comme un tigre
Je ne supporte pas les cages
Et ainsi que les chaînes de ménage
C’est comme ça et c’est normal
Du fait que je suis un mâle
C’est pas de ma faute mademoiselle
Si j’aime la chasse aux gazelles
Je te jure
Wellah la vérité
En toute sincérité
Merci de me quitter
Vive ma liberté !
Pourquoi ? je ne comprends pas
On se tue toi et moi
A se déranger toutes les nuits
Et à partager le même lit
Alors que Freud approuver
Que le sommeil s’est privé
Chacun a son heure pour rêver
Et son heure pour se lever
Je te jure
Wellah la vérité
En toute sincérité
Merci de me quitter
Vive ma liberté !
D’ailleurs je n’aime pas Paris
Et le stress et le ciel gris
De la folle machine urbaine
C’est vraiment pas mon aubaine
Je préfère mes collines
Mes oliviers mes racines
Mon village mes amis
Au soleil de Kabylie
Je te jure
Wellah la vérité
En toute sincérité
Merci de me quitter
Vive ma liberté !
De Brel, Ferré et Aznavour ;
Elles sont toutes toutes jolies
Mais y a trop de mélancolie
Face à la peur et l’abandon
Les hommes pleurent cependant ;
Moi je chante et je reste gai
Un peu rock, un peu reggæ
Je te jure
Wellah la vérité
En toute sincérité
Merci de me quitter
Vive ma liberté !
Je suis né pour être libre
Sur ma montagne comme un tigre
Je ne supporte pas les cages
Et ainsi que les chaînes de ménage
C’est comme ça et c’est normal
Du fait que je suis un mâle
C’est pas de ma faute mademoiselle
Si j’aime la chasse aux gazelles
Je te jure
Wellah la vérité
En toute sincérité
Merci de me quitter
Vive ma liberté !
Pourquoi ? je ne comprends pas
On se tue toi et moi
A se déranger toutes les nuits
Et à partager le même lit
Alors que Freud approuver
Que le sommeil s’est privé
Chacun a son heure pour rêver
Et son heure pour se lever
Je te jure
Wellah la vérité
En toute sincérité
Merci de me quitter
Vive ma liberté !
D’ailleurs je n’aime pas Paris
Et le stress et le ciel gris
De la folle machine urbaine
C’est vraiment pas mon aubaine
Je préfère mes collines
Mes oliviers mes racines
Mon village mes amis
Au soleil de Kabylie
Je te jure
Wellah la vérité
En toute sincérité
Merci de me quitter
Vive ma liberté !
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